Trophées Occitanie du Moci 2025 : Relief Applications, Spherea, Vortex I.O, Anywaves, Look Up Space


près Auvergne-Rhône-Alpes, la Bretagne, Provence Alpes-Côte d’Azur, la Corse, l’Occitanie ! Lors d’un événement organisé le 25 novembre à Toulouse, dans le cadre de l’Occitanie Export Tour, en partenariat avec les acteurs de la Team France Export régionale et avec le concours de BNP Paribas et LCL, les premiers trophées régionaux du Moci ont été remis aux dirigeants de quatre entreprises finalistes de la région, plus une cinquième distinguée par un prix « coup de cœur » du jury.

Au total douze entreprises finalistes avaient été pré-sélectionnées le 5 novembre par un jury composé des représentants des partenaires, trois par catégorie : ETI, Innovation, PME et startups. Le jury était composé des représentants des organisations partenaires suivantes : Région Occitanie, CCI Occitanie, Business France, Bpifrance, BNP Paribas, LCL, Le Moci.

Les entreprises lauréates ont donc été départagées au terme d’une séance passionnante de « pitch » et d’un vote en direct du public. Toutes nos félicitations à Spherea, Vortex I.O, Anywaves, Look up Space, et, pour le coup de cœur du jury, Relief Applications.


Coup de cœur : Relief Applications


Créée à Toulouse en 2014, cette petite PME de 1,1 million d’euros (M EUR) de chiffre d’affaires (CA), dont 90 % à l’international, développe des logiciels et des applications pour faciliter le travail des organisations humanitaires, ONG ou institutions internationales, dans le monde entier. Parmi ses dernières réalisations, un système central de gestion des urgences sanitaires, l’Emergency Information Management System (EIMS) pour l’OMS (Organisation mondiale de la santé), qui a permis à plusieurs pays de mieux coordonner leur réponse à des urgences sanitaires. D’après son CEO, Raphaël Bonnaud (photo ci-dessus), son activité a été plombée cette année par la décision de l’administration Trump de couper brutalement ses budgets dédiés à l’humanitaire. Il a fallu très vite diversifier ses débouchés. « Nous nous sommes réinventé » avec l’aide de la Team France export occitane, a-t-il déclaré lors de la remise de son trophée.


Catégorie ETI : Spherea

De g. à d. : Emmanuel Saint-Martin (Le Moci), Jean-Philippe Cuocci, (BNP Paribas), Vincent Bronet (Spherea), Christophe Laine (Douanes d’Occitanie). © Kétana Men

Issue du groupe Airbus en 2014, Spherea est ce qu’on appelle une belle pépite de la tech française. Sa spécialité : les tests de systèmes électronique critiques, pour lesquelles elle développe des solutions complètes, des machines aux logiciels, permettant de tester les matériels neufs mais aussi d’assurer leur suivi pour la maintenance. C’est elle qui conçut le banc de test pour le Concorde dans les années 60, machine qui ferait encore référence dans l’aviation mondiale, selon son directeur général Vincent Bronet (photo ci-contre).

Aujourd’hui, active dans 50 pays, son champ d’action concerne non seulement l’aviation, mais aussi la défense, l’énergie, l’automobile, le ferroviaire, le médical, autant de domaines où « l’électronique est partout » a glissé son dirigeant. Ses ambitions de croissance sont à la hauteur de marchés en forte croissance : « Avec l’augmentation des flottes d’avion, le marché est en train de doubler de taille » Vincent Bronet. Spherea, qui emploie près de 750 salariés devrait réaliser un CA de 168 M EUR de CA cette année, dont 35 % à l’export, vient de racheter une société du Michigan, aux États-Unis pour consolider sa position. Elle vise un CA de 279 M EUR en 2030, dont 50 % à l’international.

Autres finalistes : Groupe Actia, RAGT


Catégorie innovation : Vortex-IO

De gauche à droite : Emmanuel Saint-Martin (Le Moci), Jean-Christophe Poisson (Vortex-IO), Mathilde Nancy-Prévost (Bpifrance). © Kétana Men

Créée en 2019, cette jeune PME toulousaine réalise déjà près de 2,6 M EUR de CA avec 40 salariés. Elle amorce, cinq ans après sa création, son décollage à l’international depuis 2024, avec une forte croissance en perspective. Il faut dire que ce que fait Vortex-IO apporte une solution innovante dans un domaine que le changement climatique rend hautement sensible : le suivi hydrologique des cours d’eau et de leur qualité. S’inspirant de l’univers satellitaire, ses cofondateur, Guillaume Valladeau et Jean-Christophe Poisson (notre photo), ont mis au point une micro-station bourrée de capteurs connectée à un système central à son siège Toulouse. Installée sur les sites à surveiller, elle permet d’en suivre l’évolution sous toutes les coutures.

« Elle est gérée à la manière d’un satellite, a expliqué Jean-Christophe Poisson. Et cela permet d’envoyer des gens sur place uniquement lorsque c’est nécessaire ». Autant dire que les gains en efficacité et coûts sont énormes pour les administrations ou agences en charge de cette activité sensible. De fait, la solution intéresse tous les territoires touchés par le stress hydrique. Résultat, La PME a déjà vendu 700 de ses micro-stations dans dix pays. Elle vient d’effectuer une levée de fonds pour accélérer son déploiement à l’international. Parmi ses cibles : le Maroc, où elle a décroché un gros contrat (1 M EUR), l’Australie, où elle a signé un contrat avec l’État de Nouvelle Galle du Sud, et la Croatie, où elle nourrit de belles ambitions.

Autres finalistes : Ecocean, Genoskin


Catégorie PME : Anywaves

De gauche à droite : Emmanuel Saint-Martin (Le Moci), Hugo Bioret (LCL), Anne Lise Vo Thanh (Anywaves), Philippe Eeckhoutte (Business France Occitanie). © Kétana Men

Le petit objet blanc que montre au public Anne-Lise Vo Thanh, directrice commerciale de cette PME de 56 salariés basée à Toulouse (notre photo), ressemble, de loin, à une petite galette. C’est en fait une antenne satellite, l’un des produits phares d’Anywaves vendu à plus de 500 exemplaires dans le monde. La PME se définit comme un équipementier de l’industrie spatiale spécialisé dans la conception et la fabrication d’antennes pour satellites, sur étagères ou sur-mesure. Elle a notamment conçu la deuxième antenne déployable au monde, après celle de la Nasa !

Créée en 2017, l’entreprise a su prendre d’entrée le virage de l’essor des constellations satellitaires des lancements. « C’est un très beau contrat aux États-Unis qui nous a ouvert les portes de l’international » a relaté la directrice commerciale. Elle réalise aujourd’hui 11,75 M EUR de CA (2024) dont 66 % à l’export, avec pour principal marché les États-Unis (70 %), où elle a ouvert une filiale l’an dernier. « Nous avons des bureaux à Austin depuis un mois » a précisé Anne-Lise Vo Thanh, dont l’entreprise participe à pas moins de 15 salons internationaux du secteur chaque année. Les ambitions à l’international sont en effet importantes. Anywaves, qui a beaucoup investi dans le marketing sur Internet pour faire connaître son offre, a d’ores déjà commencé à percer en Asie, avec des contrats engrangés en Corée du Sud, au Japon et à Singapour.

Autres finalistes : France Noyer, Mecano ID


Catégorie Startup : Look Up Space

De gauche à droite : Thierry Cotelle (Région Occitanie), Juan Carlos Dolado (Look Up), Bérangère Ferrier (Conseillers du Commerce Extérieur de la France). © Kétana Men

Lorsque Juan Carlos Dolado (notre photo), cofondateur et CTO (Directeur technique) de cette jeune pousse de la surveillance de l’espace fondée en 2022 par d’anciens cadres du CNES, évoque la levée de fonds globale de 80 millions d’euros qu’elle a réussi à effectuer en deux fois (en 2023 et en 2025) pour financer sa croissance, il prend soin de préciser : « On a fait le choix de ne prendre que des investisseurs européens ». C’est dire si cette startup qui développe un réseau mondial de radars de nouvelle génération – baptisé « Sorasys » – pour surveiller un espace envahi de satellites et de débris, a conscience qu’elle adresse une demande touchant à des domaines hautement sensibles, car souverains. Ses radars, connecté à une plateforme d’analyse et de fusion de données spatiales baptisée « Synapse », peuvent détecter des objets spatiaux de quelques centimètres avec une précision remarquable.

Les marchés pour ce type de service de pointe sont porteurs, et la vision des fondateurs est résolument internationale : reconnu comme technologie duale souveraine dans l’Union européenne, Look Up coopère déjà avec plusieurs ministères de la Défense, s’intègre dans divers programmes européens, s’implante en Asie pour développer des partenariats avec différents pays (Corée, Japon) et ambitionne de créer une entité aux États-Unis. Son ambition est de devenir le leader européen de sa spécialité. La startup a franchi le cap des 3 M EUR de CA cette année, dont 60 % à l’export, et ses 90 collaborateurs sont aujourd’hui répartis entre la France (à 90 %), les États-Unis, le Royaume-Uni et Taiwan.

Autres finalistes : Bertrand Beaucourt, ROB OCC

Christine Gilguy



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GUIDE MICHELIN 2025

C’est à Metz en Moselle que la cérémonie de sortie du fameux guide rouge fête ses 125 ans

en présence du patron de l’entreprise Florent Menegaux et du directeur du guide Gwendal Poullenec.

2 nouveaux 3 étoiles , – Christopher Coutanceau (La Rochelle), récupère sa troisième étoile perdue en 2023.

– Hugo Roellinger (Le Coquillage, Saint-Méloir-des-Ondes en Ile-et-Vilainerejoignent les 29 meilleurs chefs de France.

Coté Outre-mer, toujours pas de restaurant à l’honneur.

Dans l’hexagone, Marcel Ravin conserve ses 2 étoiles et reçoit un prix dans la catégorie dessert passion

www.montecarlobay.com.

Louis-Philippe Vigilant, chef du Relais Bernard Loiseau à Saulieu garde ses 2 étoiles

www.bernard-loiseau.com

Kelly Rangama , le Faham by Kelly Rangama maintient son étoile.

https://lefaham.com

En Occitanie 5 chefs obtiennent leur première étoile;4 perdent leur deuxième étoile.

Cette année, 78 nouvelles étoiles ont été décernées à travers la France, soit 16 nouvelles étoiles de plus qu’en 2024.

Les autres prix

PRIX DU SERVICE

Valentin Cavalade du Jules Verne à Paris et CoralieSemery de l’Ebullition à Montpellier.

MEILLEUR SOMMELIER

Maéva Rougeoreille de l’Auberge du Père Bise et Jean Dumontet du restaurant Frédéric Doucet à Charolles.

PRIX DU CHEF MENTOR

Bernard Pacaud, L’Ambroisie (Paris)

La promotion «Passion dessert»

– Mallory Gabsi (Paris)

– Blue Bay Marcel Ravin (Monaco)

– JY’S (Colmar)

– Fana (Paris)

– Albert 1er (Chamonix)

– Auberge du Vieux Puits (Fontjoncouse)

– L’Inattendu – Domaine de Locguénolé (Kervignac)

– Rozó (Marcq-en-Baroeul)

– Casadelmar (Porto-Vecchio)

– Christopher Coutanceau (La Rochelle)

Le prix du jeune chef, remis par Gilles Goujon ( 3 étoiles depuis 15 ans), est décerné cette année à Valentina Giacobbe (restaurant Ginko à Lille) qui obtient sa première étoile par la même occasion.

Cinq nouveaux restaurants 1 étoile en Occitanie

Le guide Michelin 2025 a décerné une troisième étoile à deux établissements cette année et une deuxième étoile à neuf restaurants et une première étoile à 57 restaurants, dont cinq en Occitanie :

  • Monique, 1 ter Impasse du Charron, à Calvisson (Gard)
  • Acte 2 , 1 Rue Paneboeuf, à Toulouse (Haute-Garonne)
  • La maison Despouès , 911 route de Montadet, à Puylausic (Gers)
  • Ébullition , 10 Rue du Pila Saint Gély, à Montpellier (Hérault)
  • Fario , 12 Rue Saint-Ferréol, à Céret (Pyrénées-Orientales)

Les rétrogradations avaient déjà été annoncées il y a dix jours. Cette année, 23 établissements étoilés ont été déclassés en France : un trois étoiles, un deux étoiles – « Le Puits Saint Jacques » à Pujaudran (Gers) – et 21 restaurants – dont sept en Occitanie – ont également perdu leur unique étoile, parfois en raison d’un changement d’orientation ou de propriétaire.

Le Puits Saint-Jacques, Pujaudran (32) > De 2 à 1 étoile

Ils ont perdu leur étoile

Le Belvédère, Bozouls (12)

L’Hirondelle – Château de Collias, Collias (30)

Äponem – Auberge du Presbytère, Vailhan (34)

Le Duèze – Château de Mercuès, Mercuès (46)

La Table de Castigno*, Assignan (34)

L’Arrivage*, Sète (34)

Hedone*, Toulouse (31)

Tous les restaurants étoilés par département en Occitanie

Au total, il y a 54 restaurants étoilés en Occitanie.

Aude

  • Auberge du Vieux Puits , 5 avenue Saint-Victor à Fontjoncouse ;
  • La Table Lionel Giraud , Rond-point de la Liberté – 68 avenue du Général-Leclerc à Narbonne ;
  • La Table de Franck Putelat , 80 chemin des Anglais, au Sud de la Cité à Carcassonne ;
  • Le Puits du Trésor , 21 route des Quatre-Châteaux à Lastours ;
  • Le Grand Cap , Chemin du Phare à Leucate.

Aveyron

  • Bras , Route de l’Aubrac à Laguiole ;
  • Vieux Pont , Le bourg à Belcastel ;
  • Émilie & Thomas – Moulin de Cambelong , 61 lieu-dit Cambelong, 12320 Conques-en-Rouergue ;
  • Restaurant Hervé Busset , 24 place du Bourg, 12000 Rodez.
  • Le Belvédère, 11 route du Maquis-Jean-Pierre à Bozouls, a perdu son étoile cette année.

Gard

  • PREMIÈRE ÉTOILE – Monique, 1 ter Impasse du Charron, à Calvisson ;
  • Restaurant Alexandre , 2 rue Xavier-Tronc à Garons ;
  • Duende , Quai de la Fontaine à Nîmes ;
  • La Table d’Uzès , 18 rue du Docteur-Blanchard à Uzès ;
  • Entre Vigne et Garrigue , 600 route de Saint-Bruno à Pujaut ;
  • Skab , 7 rue de la République à Nîmes ;
  • Jérôme Nutile – Le Mas de Boudan , 351 chemin Bas-du-Mas-de-Boudan à Nîmes ;
  • Rouge , 6 rue Fresque à Nîmes ;
  • Le Cèdre de Montcaud , Hameau de Combes, 30200 Sabran ;
  • Le Saint Hilaire , 5 rue André Schenk, 30560 Saint-Hilaire-de-Brethmas ;
  • Le Prieuré , 7 Pl. du Chapitre, 30400 Villeneuve-lès-Avignon.
  • Château de Collias, 8 place du Château à Collias, a perdu son étoile cette année.

Haute-Garonne

  • PREMIÈRE ÉTOILE – Acte 2 , 1 Rue Paneboeuf, à Toulouse
  • Py-R , 19 descente de la Halle-aux-Poissons à Toulouse ;
  • Michel Sarran , 21 boulevard Armand-Duportal à Toulouse ;
  • L’Aparté , 21 rue de l’Europe à Montrabé ;
  • En Marge , 1204 route de la Croix-Falgarde à Aureville ;
  • Ô Saveurs , 8 place des Ormeaux à Rouffiac-Tolosan ;
  • En Pleine Nature , 6 place de la Mairie à Quint-Fonsegrives ;
  • Stéphane Tournié – Les Jardins de l’Opéra , 1 place du Capitole à Toulouse ;
  • Auberge de la Forge , 8 rue Jean-Parisot, 31590 Lavalette ;
  • SEPT , 11 rue Théodore-Ozenne, 31000 Toulouse.
  • Hedone, 2 impasse Saint-Félix à Toulouse, a perdu son étoile cette année.

Gers

Hérault

  • PREMIÈRE ÉTOILE – Ébullition , 10 Rue du Pila Saint Gély, à Montpellier ;
  • Le Jardin des Sens , Place de la Canourgue à Montpellier ;
  • Leclere , 41 rue de la Valfère à Montpellier ;
  • Pastis , 3 rue Terral à Montpellier ;
  • L’Alter Native , 12 Rue Boieldieu à Béziers ;
  • The Marcel , 5 rue Lazare-Carnot à Sète ;
  • Restaurant De Lauzun , Route de Nizas à Pézenas ;
  • La Réserve Rimbaud , 820 avenue de Saint-Maur à Montpellier ;
  • Reflet d’Obione , 29 rue Jean-Jacques Rousseau à Montpellier ;
  • Le Granit – La Mécanique des Frères Bonano , Lieu-dit La Mécanique Sainte-Colombe à Colombières-sur-Orb ;
  • Calice , 30 Bd Bertrand Duguesclin, 34500 Béziers.
  • La Table de Castigno, Carriera de la Teuliera à Assignan, a perdu son étoile cette année.
  • Äponem – Auberge du Presbytère, 4 rue de l’Église à Vailhan, a perdu son étoile cette année.
  • L’Arrivage by Jordan Yuste, 13-15 Rue André Portes à Sète, a perdu son étoile cette année.

Lot

  • Les Trois Soleils de Montal , Les Prés-de-Montal, Saint-Jean-Lespinasse à Saint-Céré ;
  • Château de la Treyne , à Lacave ;
  • Pont de l’Ouysse , à Lacave ;
  • Le Gindreau , 146 rue du Gindreau, le Bourg à Saint-Médard ;
  • Le Duèze – Château de Mercuès, Route du Château à Mercuès, a perdu son étoile cette année.

Lozère

  • Cyril Attrazic , 10 route du Languedoc à Aumont-Aubrac.

Pyrénées-Orientales

  • PREMIÈRE ÉTOILE – Fario , 12 Rue Saint-Ferréol, à Céret ;
  • La Balette , Route de Port-Vendres à Collioure ;
  • La Galinette , 23 rue Jean-Payra à Perpignan ;
  • La Coopérative – Domaine Riberach , 2 route de Caladroy, 66720 Bélesta ;
  • L’Almandin , Boulevard de l’Almandin, St-Cyprien Sud, 66750 Saint-Cyprien.

Tarn

  • Villa Pinewood , 590 Chem. du Nègre, 81660 Payrin-Augmontel à Payrin-Augmontel.

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Le Groupe Logis Hôtels lance l'édition 2025 de son Guide emblématique et sa déclinaison premium "L'Art de Recevoir". A cette occasion, le Groupe annonce l'arrivée de 111 nouvelles adresses au sein de son réseau, dont 17 nouveaux établissements en région Occitanie : 



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Salons de l’Etudiant, la saison 2025-2026 est lancée : 12 rendez-vous en Occitanie

S’informer, échanger et recueillir des conseils fiables pour construire son projet d’orientation le plus sereinement possible : douze salons proposés par l’Etudiant, entre octobre et mars, à Montpellier, Perpignan et Toulouse
.Communiqué de presse, le 17 septembre 202
5Qu’ils soient lycéens, étudiants ou en reprise d’études, chaque année plus d’un million de jeunes doivent choisir leur orientation
.Pour les aider dans leurs démarches et conseiller leurs parents, l’Etudiant les accompagne, lors de salons qui sont de véritables rendez-vous avec l’avenir
.En effet, lorsqu’il est question d’orientation, les salons sont la source d’information n°1 pour 51%* des parents d’élèves (étude Opinionway pour l’Etudiant, juin 2025). Une tendance qui se vérifie, chaque année, les parents représentent 40% du visitorat des salons de l’Etudiant qui ont compté 1 million de visiteurs la saison dernière
.En 2025/2026, l’Etudiant organise 120 salons dans 56 villes partout en France, dont douze en Occitanie
.LES PARENTS, PREMIERS CONSEILLERS ET PREMIERS STRESSÉS
*Les parents restent invariablement les conseillers les plus influents pour les jeunes. 74% d’entre eux citent leurs parents comme premiers accompagnants dans le cadre de leur orientation scolaire. Mais ce rôle est aussi une charge : 1 parent sur 2 se dit dépassé par la complexité des filières et des débouchés. En se rendant sur les salons de l’Etudiant ils cherchent des réponses à leurs questions. Pour eux, comme pour leurs enfants, les salons de l’Etudiant sont des rendez-vous irremplaçables dans leur démarche d’orientation
.Organisés avec le soutien des acteurs locaux et régionaux, les salons de l’Etudiant permettent des rencontres directes avec des branches professionnelles, des acteurs d
el’orientation, des entreprises, des établissements publics et privés, mais également avec des étudiants pour des retours d’expériences
.Des espaces conseils sont également déployés pour accompagner les plus indécis face aux choix multiples qui s’offrent à eux
.Enfin, des conférences, organisées et animées par la rédaction de l’Etudiant, offrent une information objective sur les formations, les diplômes et les filières d’études
.AGENDA 2025/202
6D’octobre à décembre 202
51
.Salon arts, digital et communication, 4 octobre, Montpellier >
>2
.Salon grandes écoles, 4 octobre, Montpellier >
>3
.Salon santé, social, paramédical et sport, 4 octobre, Montpellier >
>4
.Salon de l’étudiant, 4 octobre, Toulouse >
>5
.Salon masters, mastères spécialisés et MBA, 22 novembre, Montpellier >
>6
.Salon arts, digital et communication, 6 décembre, Toulouse >
>7
.Salon grandes écoles, 6 décembre, Toulouse >
>8
.Salon santé, social, paramédical et sport, 6 décembre, Toulouse >
>De janvier à mars 202
69
.Le Salon de l’Enseignement supérieur, 15-16-17 janvier, Montpellie
r10
.Forum des études supérieures et des métiers, 29 janvier, Perpigna
n11
.Salon formation et recrutement en alternance, 21 mars, Montpellie
r12
.Salon formations et recrutement en alternance, 21 mars, Toulous
eCalendrier complet des salons de l’Etudiant à retrouver ici
.UN SITE EN LIGNE POUR CHAQUE SALON AFIN DE PRÉPARER ET OPTIMISER SA VISIT
EPour préparer la venue des visiteurs, l’Etudiant met en place une version en ligne de chaque salon, accessible via son site letudiant.fr
.Futurs étudiants et parents, peuvent consulter en amont la liste des exposants et leur présentation, le programme des conférences, les animations et préparer ainsi leurs questions à poser aux établissements de formation, entreprises, partenaires..
.À PROPOS DE l’ETUDIAN
TDepuis plus de 50 ans, l’Etudiant est le média référent de l’information sur l’orientation & la formation destiné aux 15 à 25 ans et leurs parents. Présent à chaque étape du parcours éducatif et professionnel, l’Etudiant renseigne les jeunes lors des 120 salons organisés en partenariat avec des acteurs institutionnels locaux partout en France. Mais aussi via son site letudiant.fr qui réunit conseils pratiques, services et articles et séduit chaque mois plus de 4,1 millions de visiteurs. Très présent également sur les réseaux sociaux, l’Etudiant interagit toute l’année avec une communauté de plus d’1 million d’abonnés
.Découvrez nos engagements RSE : pro.letudiant.fr/rs
ePour plus d’informations sur l'Etudiant, rendez-vous sur pro.letudiant.f
rCONTACT PRESS
EMarie Maingu
ymmainguy@letudiant.fr - 06 14 16 09 6
2*Sondage OpinionWay pour L’Etudiant réalisé via un questionnaire en ligne. Ces échantillons sont issus d’échantillons représentatifs de 649 parents d’enfants âgés de 15 à 22 ans et de 877 jeunes âgés de 15 à 22 ans. Ils ont été constitués selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle et de région


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Candidature au patrimoine mondial 


Les forteresses royales du Languedoc

           

   

                      En janvier 2025, la France a déposé officiellement le dossier de candidature à l’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco des « Forteresses royales du Languedoc », ensemble architectural exceptionnel composé de huit monuments répartis entre les départements de l’Aude et de l’Ariège : les châteaux d’Aguilar, Lastours, Montségur, Peyrepertuse, Puilaurens, Quéribus, et Termes ainsi que les forteresses de Carcassonne. Cet ensemble est un témoignage exceptionnel du système défensif territorial conçu et administré par le roi de France après la Croisade contre les Albigeois. Ces monuments, édifiés sur des pitons rocheux, dans des paysages grandioses, illustrent une période charnière de l’histoire, et offrent un exemple unique d’architecture militaire homogène – leur conférant une Valeur Universelle Exceptionnelle (VUE). Ce dépôt est une étape cruciale après 12 ans d’un vaste et ambitieux travail scientifique et territorial porté par le Département de l’Aude, présidé par Madame Hélène Sandragné et les équipes de l’Association mission patrimoine mondial (AMPM), présidée par Hervé Baro qui est le président déléguée. Suivront 18 mois d’expertise internationale avant le Comité du patrimoine mondial, décisif, qui se tiendra à l’été 2026.

           

   

                                      Aguilar ©Philippe Benoist

           

   

                     

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